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N°346 Déc 2005 - Enquête sur la christianophobie

Référence : 65032
Date de parution : 1 décembre 2005
EAN 13 : 00102871
Nb de pages : 32
3.50
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Description
SOMMAIRE 
  • Enquête sur la christianophobie, de Michel De Jaeghere, par Claude Mouton-Raimbault 
  • La christianophobie, par Jean-Pierre Maugendre (Conférence prononcée lors des Journées Chouannes à Chiré-en-Montreuil) 
  • Legenda (le monde du livre et de l'édition) - Francophonie-Le coin du philologue - Nos lectures : Le père absent (de Claudio Risé) ; Qui a peur du bon français ? - A travers les revues - Le terrorisme culturel. 
  • Après 73 ans de militantisme, garder l'espérance, par François Marie Algoud (Conférence prononcée lors des Journées Chouannes à Chiré-en-Montreuil) 
  • L'invisible infini, de Michèle Reboul
  • - Lecture de Daniel Raffard de Brienne
    - Lecture de Mickaël Savigny 
  • Nous avons reçu
  • TitreN°346 Déc 2005 - Enquête sur la christianophobie
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 décembre 2005
    Nb de pages32
    EAN 1300102871
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)148
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Enquête sur la christianophobie
    par Michel De Jaeghere
    (Ed. Renaissance Catholique)
    C'est un grand livre, en ce sens qu'il restera comme une oeuvre de référence pour les historiens et les générations à venir qui chercheront les origines et l'ampleur de notre décadence actuelle.
    Cela fait quarante-cinq ans que ça dure. Un simple calcul nous ramène à la perte de l'Algérie et aux orientations du Concile, sur lesquelles se greffa la révolution libertaire de 1968 dont les artisans sont aux commandes de notre société. Le bilan est catastrophique. En si peu de temps, voici que l'Eglise vacille sur ses fondements, que la France et l'Occident se sont déchristianisés, que les catholiques sont devenus dans notre pays une majorité déchue (expression de l'auteur), que des Iois de mort, au service d'une philosophie individualiste, matérialiste et subversive, ont inversé la morale, détruit les familles, créé les conditions d'un asservissement libéral plus insidieux que ne le fut le diktat communiste au temps de la guerre froide.
    On aurait pu croire que la chute du Mur de Berlin, en 1989, allait redonner vigueur à la Chrétienté, sous la houlette du Pape venu de l'Est. Eh bien, non ! Les pierres mortes de ce mur sont devenues les "pierres vivantes" d'un nouveau catéchisme ravageur. Tout se passa comme si le Mondialisme s'était servi du sang des martyrs pour miner l'empire économique que le communisme avait formé et pour établir sa propre hégémonie de trusts, dans l'esprit de Mammon. Assurément , qu'a-t-il manqué pour que la doctrine sociale de l'Eglise triomphe enfin ? Sinon la consécration de la Russie au Coeur Immaculé de Marie et la recommandation de la communion réparatrice des premiers samedis du mois. Qu'aurait-il fallu pour que l'Eucharistie rayonne sur le monde ? Sinon la Messe perpétuelle dans son rite intouché, véritable bouffée d'oxygène surnaturel qui eût régénéré les coeurs, galvanisé les énergies, consolidé les structures sociales chrétiennes et propulsé la jeunesse, non pas dans les stades clos des JMJ, mais à la conquête des âmes à convertir.
    La grâce est passée... Reviendra-t-elle ? Il faut y croire, car elle est le fruit des promesses de Jésus et Marie. Mais elle tarde, tarde... et pendant ce temps-là, le Léviathan politique et médiatique, si bien décrit en quatre chapitres magistraux par Michel De Jaeghere déverse sa haine sur tout ce qui se dit encore catholique, sur tout ce qui résiste dans des citadelles assiégées, sur tous ces bons soldats qui brandissent sur les remparts le drapeau de la liberté : celui du Sacré-Coeur.
    (...)