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N°305/306 Juil/Août 2002 - Cristeros Croisés du XXème siècle

Référence : 64995
4 avis
Date de parution : 1 août 2002
EAN 13 : 0000241200009
Nb de pages : 64
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Description
SOMMAIRE 
  • Avant-propos 
  • Nous sommes des Vendéens. Nous sommes des Carlistes. Nous sommes des Cristeros 
  • Les antécédents, par José Ma Donato 
  • L'Etat contre l'Eglise, par Juan José Corva 
  • La guerre des Cristeros, par Alfonso C. Amaritriain 
  • Les "accords". Les Cristeros trahis 
  • Le second soulèvement des Cristeros, par Jorge Matarnala 
  • Femmes cristeras, par Ana Redomir 
  • L'esprit cristero, par Jorge S. Climent 
  • Révolution, protestantisme el maçonnerie au Mexique, par Juan Diaz Fernandez 
  • Les martyrs mexicains, par Alfonso C. Amaritriain 
  • Annexe : "Une histoie interdite"
  • TitreN°305/306 Juil/Août 2002 - Cristeros Croisés du XXème siècle
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 août 2002
    Nb de pages64
    EAN 130000241200009
    Épaisseur (en mm)4
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.10
    Critique du libraire
    L´histoire du soulèvement des populations catholiques au Mexique en 1926-1932 contre le gouvernement républicain, sectaire et franc-maçon (il fut l´équivalent de celui des Vendéens en France et des Carlistes en Espagne). Ce mouvement, que ses adversaires se sont toujours ingéniés à étouffer, a entraîné derrière lui des dizaines de milliers d´insurgés. 
    Avant-Propos
    Le mouvement des Cristeros, pratiquement inconnu dans les milieux catholiques, conserve une parenté sans pareille avec les guerres contre-révolutionnaires
    européennes. Le processus révolutionnaire, nous l'avons indiqué plusieurs fois dans cette revue, s'accomplit de manière mécanique.
    Pratiquement, toutes les révolutions ont obéi au même processus, essayant de tout soumettre à l'Etat, et spécialement l'Eglise. La Révolution mexicaine a suivi les mêmes voies.
    Des gouvernements mexicains successifs ont tenté d'annihiler l'Eglise catholique, à coups de lois chaque fois un peu plus oppressives. Face à la révolution, le peuple catholique du Mexique s'est dressé en armes au cri de : "Vive le Christ Roi ! Vive la Vierge de Guadalupe !"
    La guerre des Cristeros fut une manifestation de la vitalité hispanique. Face à l'Etat centralisateur et révolutionnaire, face à la modernité opprimant les humbles, face à l'impérialisme américain, et sa politique de protestantisation de la société et de l'économie, le peuple mexicain se souleva. Sa motivation ne fut pas seulement celle d'une guerre défensive mais aussi un mouvement de franches aspirations sociales et de transformations politiques.
    Seule la trahison, comme tant de fois, parvint à éteindre un incendie qui fut à deux doigts de changer l'histoire du Mexique. Aujourd'hui, notre mémoire les rejoint. Mais notre souvenir n'est pas nostalgique, c'est un souvenir d'admiration, pour trouver en lui des références, afin de construire la civilisation de l'Amour, car notre lutte n'est pas utopique mais bien réelle.
    Les avis clients
    Un des pires crimes de masse du XXe !
    5/5 Pour L'Histoire.
    .----. Traduction d'un texte publié à Barcelonne en 1998, cette plaquette comble un vide tout à fait surprenant dans la mesure où elle évoque l'un des pires crimes de masse du XXe siècle, l'écrasement, totalement occulté aujourd'hui, de la résistance chrétienne par le régime libéral et franc-maçon du Mexique des années 1920. Les ouvrages de Jean Meyer et de Hugues Kéraly, qui datent respectivement de 1974 et de 1986 sont peu connus et difficiles à trouver et constituaient jusqu'à maintenant la seule présentation en langue française de cette tragédie dont le seul écho fut le succès rencontré il y a bien longtemps par le roman de Graham Greene La puissance et la gloire, publié en 1940. La guerre des Cristeros fut une manifestation de la vitalité hispanique. Face à l'Etat centralisateur et révolutionnaire, face à la modernité opprimant les humbles, face à l'impérialisme américain et à sa politique de protestantisation de la société et de l'économie, le peuple mexicain se souleva. Sa motivation ne fut pas seulement celle d'une guerre défensive mais aussi un mouvement de franches aspirations sociales et de transformations politiques qu'il convient d'occulter aujourd'hui pour mieux affirmer le caractère archaïque et réactionnaire de ce mouvement populaire de grande ampleur qui ne reçut pas le soutien qu'il méritait, notamment du souverain pontife d'alors, Pie XI, trop soucieux de ménager les pires ennemis du catholicisme. Faute de pouvoir lire les ouvrages cités plus haut ou les trois volumes en langue espagnole de la thèse de Jean Meyer - La Cristiada, publiée à Mexico en 1973 - cette plaquette est indispensable pour rappeler le sacrifice oublié de ces "chouans" latino-américains. [ " Pour l'Histoire " , du 7 septembre 2003 ]
    Un exemple à suivre !
    5/5 Légitimiste
    .----. Même s'il en a déjà été fait mention dans ces colonnes (Légitimiste, numéro 339), il est important de revenir sur ce dernier numéro de Lecture et Tradition, l'une des deux revues éditées par le centre de Chiré-en-Montreuil dirigé par Jean Auguy. Il s'agit d'un numéro consacré au combat des Cristeros du Mexique, véritables croisés du XXe siècle. Ne serait-ce qu'en raison de la parenté évidente avec les guerres de Vendée et la Chouannerie, il faut connaître ce magnifique épisode de la résistance contrerévolutionnaire dans son expression armée et combattante. De plus, les Cristeros prouvent qu'à toutes les époques, il est possible de résister efficacement à la Révolution, leur ruine n'étant due qu'à l'abandon scandaleux dont ils ont fait l'objet de la part des autorités ecclésiastiques... Tout est étudié dans ce numéro, qui donne la traduction d'une revue espagnole carliste parue il y a quelques années : des origines du soulèvement aux causes immédiates, puis du soulèvement (1926-1929) et des victoires aux accords inadmissibles entre l'Eglise officielle et le gouvernement révolutionnaire, en passant par l' "esprit cristero", les persécutions qui suivirent les accords, et la reconnaissance bien tardive de l'Eglise par le biais des béatifications depuis 1988... Ces combattants nous laissent plus que jamais un exemple à suivre dans notre résistance religieuse et politique contre la Révolution sous toutes ses formes. [ Signé Angélique Palle dans " Légitimiste " , numéro 345 du 6 mars 2003 ]
    Précisions supplémentaires .
    5/5 Jean Auguy .
    J'utilise le temps libre laissé par les occupations d'un retraité pour mettre de l'ordre dans une masse considérable d'archives non classées . je viens ainsi de trouver des notes sur l'édition de ce numéro et je peux ainsi préciser que la traduction de base a été faite par André Galabru et corrigée par Marie Rault Ferré qui avait déjà réalisée plusieurs travaux pour " Chiré " . Il faut ajouter que l'initiative de cette publication revient à la Bibliothèque St Michel ( Toulon, mais disparue maintenant ) avec la collaboration des Cercles Légitimistes de France .
    Précisions :
    5/5 Jean Auguy.
    --Nous avions reçu à Chiré une traduction dont nous ne connaissions pas l'origine, sauf que c'était la traduction du magazine espagnol " Ahora", et cela nous a donné le désir de la publier ( en réalité nous avions séparé le courrier du texte et nous venons seulement de retrouver cette lettre ! )! Nous avions donc, à l'époque, décidé de faire refaire celle-ci par une amie de notre équipe qui nous a avoué lors de la remise de son travail qu'elle avait largement utilisé le premier texte, mais en apportant de nombreuses modifications sur des points qui nous ont semblé être des querelles de traducteur! Pour ce motif nous avions décidé de ne remercier que "des traducteurs". Par la suite le premier traducteur nous a accusé d'avoir ignoré son nom et nos bonnes relations ont tourné au vinaigre...c'était un peu rocambolesque...il s'est désabonné de "LECTURES FRANCAISES" mais cela ne l'a pas empêché de donner un texte pour nos "Cahiers" par la suite !!!! Tout cela est dit pour montrer la difficulté de notre travail, les relations avec les rédacteurs où auteurs ne sont pas toujours faciles, il faut harmoniser les idées de chacun, les divergences de fonds, les querelles dont nous ne connaissons souvent pas les tenants et aboutissants... Et pourtant ce numéro méritait ce travail, et nous ne regrettons pas de l'avoir effectué, bien au contraire.