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N°248 Oct 1997 - Deux livres de F-M Algoud : 1600 Jeunes Sts et Histoire de la volonté de perversion

Référence : 64943
Date de parution : 1 octobre 1997
EAN 13 : 00003719
Nb de pages : 28
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Description
SOMMAIRE
- Editorial : Lettre ouverte à Denys Prache, par François Marie Algoud.
- Deux ouvrages de François Marie Algoud : "Histoire de la volonté de perversion de l'intelligence et des moeurs" et "1600 Jeunes Saints, Jeunes Témoins", par Claude Mouton Raimbault.
- Ce qu'en dit la presse amie :
- "Histoire de la volonté de perversion".
- "1600 Jeunes Saints, Jeunes Témoins".
- Il y a 150 ans : La Salette, par Daniel Raffard de Brienne.
- Entretien avec Clet-Yves Yven.
- Le Saint Suaire dans le combat des idées, par Daniel Raffard de Brienne.
- Princesse Kahina, de Christine Sauty de Chalon, par A.B.
- Coup de théâtre ! de Jean Rolland, par Claude Mouton-Raimbault.
- Le compagnon de Saint Martin, de Gabriel Bonnand, par Jean-Louis Picoche.
- Jeunes Saints, Jeunes Témoins : Feliciano Riano Lopez, par François Marie Algoud.
- Nous avons reçu.
- La Contre-Encyclopédie (Kateri Tekakouitha ; Etienne de Saint Hubert ; Jean-François Sauvageot, par Henri Servien)
TitreN°248 Oct 1997 - Deux livres de F-M Algoud : 1600 Jeunes Sts et Histoire de la volonté de perversion
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 octobre 1997
Nb de pages28
EAN 1300003719
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.05
Critique du libraire
Editorial. Lettre ouverte à Denys Prache 

Monsieur,
Ayant eu l'intention de l'offrir à un de mes petits-fils pour sa première communion, j'ai acquis votre ouvrage "Saints et Saintes de France." Soucieux de la bonne information du futur lecteur, j'ai bien entendu lu votre prose... et découvert avec stupéfaction votre texte de la page 77.
Ainsi vous écrivez : "Les hauts dignitaires de l'Église sont sourds à la voix des philosophes qui prônaient la priorité de la Raison ; ils s'avancent hautains et masqués : leur visage ne reflète plus l'image des fidèles chrétiens et de leurs prêtres faméliques qui ont exprimé leurs doléances lors des États Généraux de 1615 et les renouvelleront en 1788." 
N'auriez-vous pas lu cet extrait du Décret de Béatification des martyrs de septembre 1792 : "On ne pourra jamais assez déplorer ce noir et misérable fléau qui, à la fin du XVIIIème siècle, caché sous le nom mensonger de philosophie, avait perverti les esprits et corrompu les moeurs..." ?
Ne vous souviendriez-vous pas de quelques propos de ces fameux philosophes ? C'est vers le 15 septembre 1755 que Diderot (1713-1783), animateur de l'Encyclopédie, déclare : "un carrosse, un appartement (sic) commode, du linge fin, une fille parfumée (déjà la femme est réifiée)".
C'est Rousseau qui précise son idéal : "la nourriture, une femelle et le repos".
En l'été 1757, Voltaire écrit à D'Alembert, à propos des rubriques de l'Encyclopédie : "je prie l'honnête homme qui fera matière de bien prouver que le je ne sais quoi qu'on nomme matière peut aussi bien penser, que le je ne sais quoi qu'on appelle esprit".
(...)