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N°245/246 Juil/Août 1997 - Hanna Zakarias et les origines de l´islam. L´état corporatif

Référence : 64941
Date de parution : 1 juillet 1997
EAN 13 : 0000371700004
Nb de pages : 28
3.50
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Description
SOMMAIRE
- Editorial : La démocratie organique, fondement de l'état corporatif, par Philippe P.d'Assac.
- A propos de Hanna Zakarias et des origines de l'Islam.
Texte de la notice publiée dans le "Dictionnaire de la Politique Française".
Lettre de M. l'abbé Bertuel.
Bibliographie.
- Les "Souvenirs" de Henry Coston
- Robert Le Vigan (de Claude Beylie et André Bernard), par Joël Laloux.
- L'horreur économique (de Viviane Forrester), par Yves-Marie Adeline.
- Jeunes Saints, Jeunes Témoins : Mari Carmen Gonzalez-Valerio, par François Marie Algoud
- Affaire Touvier : la contre-enquête (de Jean-Claude Valla), par Daniel Raffard de Brienne
- Nous avons reçu
- La Contre-Encyclopédie (Alexandre Yersin) par Henri Servien.
- Saint-Suaire : le symposium de Nice, par Daniel Raffard de Brienne.
TitreN°245/246 Juil/Août 1997 - Hanna Zakarias et les origines de l´islam. L´état corporatif
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 juillet 1997
Nb de pages28
EAN 130000371700004
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.06
Critique du libraire
Editorial : La démocratie organique, fondement de l'état corporatif 

Je ne connais rien de plus dangereux que les gens qui propagent des idées fausses sous pretexte que la nation ne voudra jamais y renoncer. Frédéric Le Play.
Imprégnés de l'enseignement républicain, nos contemporains, comprennent et apprécient mal les bienfaits de la structure corporative qui régissait le monde du travail sous l'Ancien Régime. Ils ignorent pour la plupart que les corporations furent abolies et toutes formes d'association de travailleurs, interdites sous la Révolution en 1791, par la loi d'Isaac Le Chapelier.
Par cette loi le monde du travail voyait non seulement rompue la chaîne de solidarité qui jouait à tous les échelons de la corporation des métiers, mais livrait ainsi le monde du travail à l'exploitation du capitalisme naissant.
Déjà sous les oripeaux de liberté, d'égalité, de fraternité se cachaient les intérêts égoïstes de la Ploutocratie dont la Révolution se révélait le vecteur.
Face à cette injustice flagrante, les mouvements ouvriers, de défense, se multipliaient.
Proudhon concevait son syndicalisme national, anti-marxiste. Il allait être supplanté par le syndicalisme révolutionnaire, internationaliste et cosmopolite de Marx, faisant de la lutte des classes son évangile.
La solidarité des différents échelons des métiers était rompue, désormais on ne concevait l'action et le progrès social promis, que par l'affrontement, classe contre classe, oubliant l'intérêt général seul capable de faire progresser harmonieusement l'ensemble national.
Aujourd'hui, par l'accumulation des maux engendrés par les faux principes de la Révolution et de sa vision fausse de l'homme, la démocratie inorganique mène à la désintégration de la société tout entière.