Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

N°190 Déc 1992 - 500ème anniversaire de la découverte de l´amérique

Référence : 64908
Date de parution : 1 décembre 1992
EAN 13 : 00003678
Nb de pages : 32
3.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
Sommaire 
  • Note à nos lecteurs couverture  
  • Editorial : Culture et identité, par A. Sturer  
  • La Bête et le Venin, de Vladimir Volkoff, par Claude Mouton-Raimbault . 
  • Pour saluer la découverte de l'Amérique (Christophe Colomb, de Roslly de Lorgues -L'heure de Dieu sur le Nouveau Monde, de Jean Dumont), par Claude Mouton-Raimbault  
  • Trois livres pour les jeunes (romans de Jean Rolland), par Claude Mouton-Raimbault  
  • Mes lectures du mois, par André Figueras  
  • Quand Maritain censurait Maurras, par Yves Chiron 
  • Réponse à M. Xavier de Roche, par Michel Wartelle  
  • Nous ne comprenons pas, par Marc Soulié  
  • En lisant les revues et journaux d'autrefois, par Jean Bastier  
  • Nous avons reçu, par Jean Auguy  
  • La Contre-Encyclopédie (La Rouerie; Forêt de Graslas; Jallais)
  • TitreN°190 Déc 1992 - 500ème anniversaire de la découverte de l´amérique
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 décembre 1992
    Nb de pages32
    EAN 1300003678
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Editorial (extrait) Culture et identité :
    On connaît la définition qu'un ancien ministre de l'Education Nationale, Edouard Herriot, donnait de la Culture : "ce qui reste, quand on a tout oublié." Cette définition sur le mode négatif aurait peu de sens aujourd'hui. Pour la comprendre, il faut se reporter à l'époque où elle a été donnée, dans les années 20 de ce siècle.
    La France était alors triomphante, respectée et admirée. Le Tiers-Monde n'existait pas, non plus que sa famine endémique. Il ne nous avait pas encore envahi. Notre pays possédait un système éducatif solide.
    Ceux qui étaient nés dans une famille française, et avaient fréquenté les écoles françaises, pouvaient avoir oublié quelques dates et quelques formules. Il leur restait un fonds commun de manières et de souvenirs, permettant des échanges intellectuels fructueux et agréables. Et aussi d'apprécier notre patrimoine littéraire et artistique, et en tirer jouissance.
    La définition qu'Herriot donnait, en son temps, de la Culture, équivalait à définir ce qu'on appelle, aujourd'hui, l'Identité française. De quoi était-elle faite ?
    Avec le lait de sa mère, le Français avait reçu sa langue maternelle, enseignée avec amour.
    Il avait entendu, dans cette langue, les berceuses et les chants du terroir.
    Il devait les retrouver et les apprendre à la maternelle.
    A. Sturer.