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N°153 Nov 1989 - J-Cl Davesnes : l´agriculture assassinée, René Quinton

Référence : 64876
Date de parution : 1 novembre 1989
EAN 13 : 00003633
Nb de pages : 32
3.50
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Description
Sommaire : 
  • Editorial : Pour le Bicentenaire, tout commence ! par J.-B. Geffroy  
  • L'agriculture assassinée de Jean-Clair Davesnes,
  • - La lecture de Jean-Baptiste Geffroy
    - La lecture de Claude Mouton  
  • Ahmed ! Connais pas... le Calvaire des Harkis, du colonel Moinet, par Suzanne Labin  
  • La guerre d'Espagne revisitée, d'Arnaud Imatz, par Alain Jossinet  
  • Biologiste et vaillant guerrier, lieutenant-colonel René Quinton (1866-1925), par Benoît Darque 
  • Nous avons reçu, par Jean Auguy 
  • Discours de Claude Mouton donnant le départ à Saint Florent-le-Vieil, du grand rallye national automobile de Renaissance catholique à travers la Vendée militaire les 23 et 24 septembre 1989  
  • Tribune-Libre : Du "refus systématique" à la défense de la Foi, par le docteur Marc Emily  
  • Les feux de la Saint-Jean à Riaumont, par Jean-Marie Kerven  
  • La Contre-Encyclopédie
  • TitreN°153 Nov 1989 - J-Cl Davesnes : l´agriculture assassinée, René Quinton
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 novembre 1989
    Nb de pages32
    EAN 1300003633
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Editorial (extrait) par jean-Baptiste Geffroy :
    Pour le Bicentenaire, tout commence !
    Lecture et Tradition aura donc dû céder et évoquer, ne serait-ce qu'une fois, le Bicentenaire. Pour ma part, j'ai eu longtemps la tentation de passer sous silence cet anniversaire misérable et ridicule. Et puis, je me suis aperçu que tout au long de cette année, la formidable opération de propagande et d'intoxication tournait court, que les couacs se multipliaient, que les critiques se faisaient plus acerbes et plus profondes. Le Bicentenaire, tant s'en faut, ne faisait pas l'unanimité. Le citoyen a fini par se lasser du prêchi-prêcha incantatoire, répétitif et envahissant, du tricolore à toutes les sauces et jusqu'à l'écoeurement, du "Ça ira" à longueur de temps, quand, pour beaucoup, la feuille de paye atteste que, décidément, rien ne va.
    Et que dire des manifestations "patriotiques" où l'on convie les enfants des écoles publiques et privées vaguement catholiques, attifés en sans-culottes, à reguillotiner Louis XVI et Marie-Antoinette pour la cause des droits de l'homme ? Que dire de ces opérations promotionnelles ringardes comme cette galerie foireuse organisée aux Tuileries ? Que dire enfin du raout délirant concocté par Gaude sur les Champs-Elysées qui aurait sans aucun doute effaré bon nombre de jacobins patriotes ? Tout ce tintouin n'en a pas moins soulevé l'indignation des paladins du Tiers-mondisme : le chanteur Renaud, flanqué de l'inévitable évêque Gaillot, protestant contre les fastes d'un anniversaire auquel paradaient les sept vampires de l'humanité affamée. A l'étranger même, on a du mal à saisir la signification et la cohérence de cette commémoration bariolée et vulgaire, avec son bric à brac de Foire du Trône et son fourbi de gadgets dont on sait d'ores et déjà qu'ils laisseront dans les bilans de certains marchands du Temple quelques redoutables (et salutaires) stigmates.
    Mais ce qui semble capital et m'a valu la peine d'être souligné, c'est l'ampleur de la contestation intellectuelle du phénomène révolutionnaire : éditions, rééditions, colloques et manifestations en tous genres bousculent la vieille idole au point que les thuriféraires du bonnet rouge en appelent aux manes de Robespierre.