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N° 094 Janv/Fév 1965 - Le grisbi est toujours à gauche

Référence : 64091
1 avis
Date de parution : 1 février 1965
EAN 13 : 0000316100005
Nb de pages : 32
6.50
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Description
Sommaire :
Le grisbi est toujours à gauche
La mort de Winston Churchill
L'énigme Weygand
Rebondissement de l'affaire Sidos
Les victimes que l´on oublie (avant Staline)
La politique et les affaires
Informations du Club
Salons, Partis et journaux
Les livres dont on parle : Les vaincus de la libération par Paul Serant, Charles-le-dérisoire par Andre Figueras, Les nouveaux prêtres par Michel de Saint-Pierre, Les commandos du Reich présentés par Saint-Loup de Skorzeny, Le Portugal dans le monde par Richard Pattée, La presse quotidienne par Nicolas Faucier ...
Les avis clients
Au sujet de Pierre Sidos !
5/5 Radio Courtoisie .
.----. Déclarations de Pierre Sidos à l’antenne de Radio Courtoisie by Florian Rouanet Dans l'émission « Doit-on interdire l'extrême droite ? » du Libre Journal d'Henry de Lesquen datant du 1er février 2016 sont interrogés, M. Pierre Sidos (fondateur de l'Œuvre française), M. Yvan Benedetti (directeur de Jeune nation) et M. Alexandre Gabriac (fondateur des Jeunesses nationalistes) : Voici ce que M. Pierre Sidos a pu déclarer à l'antenne de Radio Courtoisie : « Nous ne sommes pas contre la forme républicaine de l'État, nous sommes contre leur république. » « En matière de dissolution j’en suis à la troisième ! » « Pour en revenir à l’expression d’extrême droite, nous ne la revendiquons pas parce que ça appartient à un vocabulaire du système que nous combattons. Mais je dois dire que quand on affirme d’une femme qu’elle est extrêmement belle ça ne la vexe pas, un homme qu’il est extrêmement intelligent ça ne le vexe pas. Et nous préférons la formule d’extrême France ! » « Mais 1789 c’est la subversion, d’ailleurs nous critiquons ceux qui ont dans leur vocabulaire le mot de contre-révolution ; ils veulent dire la contre-subversion. » « Les élections seront réduites au domaine professionnel et communal. » « Il faut rendre aux Français l’héritage dont ils ont été spoliés. »