Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Rue du Bac ou la superstition dépassée

Référence : 63707
3 avis
Date de parution : 1 janvier 1998
Auteur : GUITTON (Jean)
EAN 13 : 9782851620163
Nb de pages : 146
80% 14.90 2.98
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
Cet ouvrage concerne sainte Catherine Labouré, la médaille miraculeuse et la rue du Bac.
J'ai voulu donner à ce haut-lieu caché de Paris (et qui reçoit plus de visites que la Tour Eiffel) une nouvelle investiture : intellectuelle et spirituelle.
Le phénomène de la rue du Bac, dans le langage de saint Paul eût été appelé prophétique.  
À tous les visiteurs venus de tous les continents, qui passent, qui prient et qui prieront au 140 de la rue du Bac.
Pour qu'ils découvrent ce lieu comme des songeurs réalistes qui aiment monter des petites choses aux grandes et qui surtout acceptent de descendre hors des pensées sublimes jusqu'aux détails et aux images éphémères.
Jean Guitton
De l'Académie française  
TitreRue du Bac ou la superstition dépassée
Auteur GUITTON (Jean)
ÉditeurPARIS CONSEP (EDITIONS DE)
Date de parution1 janvier 1998
Nb de pages146
EAN 139782851620163
Épaisseur (en mm)9
Largeur (en mm)15
Hauteur (en mm)21
Poids (en Kg)0.20
Critique du libraire
Un petit livre de réflexion sur une histoire mystique qui concerne sainte Catherine Labouré, le couvent des Filles de la Charité (rue du Bac) et la Médaille miraculeuse.
Les avis clients
Sera apprécié surtout par l'élite
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Jean Guitton nous parle du symbolisme de l'apparition, de la superstition et de la foi, ainsi que ses phénomènes mystiques et visions mariales. Nul mieux que lui-même ne pourrait résumer ses intentions (dont l'une est de " démythologiser" la rue du Bac). Voici ce qu'il en dit : "En tous les domaines il faut toujours dépasser, surmonter, "sublimer" -- même ce qui paraît en nous le plus dépouillé. Dans cet ouvrage, le dépassement a pris pour occasion un objet infime : une médaille. De cette médaille, nous avons tenté d'expliquer la symbolique, et de proche en proche, le rapport qu'elle entretient avec l'histoire du salut. Nous avons dit comment, selon les desseins de l'Evangile (et des évangélistes et des Apôtres) elle voudrait faire concourir en silence la piété des enfants et la piété des sages. Ainsi, l'humble objet voué à la chute dans le superstitieux, peut favoriser la vie spirituelle : l'union sans image avec le mystère transcendant, la prière pure sous la forme la plus simple." En ce qui concerne la superstition, l'auteur, dominant la définition du dictionnaire, en donne, par une sorte d'escalade, une série de définitions qui sont bien dans le ton de l'ouvrage, un peu savant, nous prévient-il. C'est celui du penseur qui emploie un langage philosophique et qui, de ce fait, livre aux dévots de la rue du Bac et de la Médaille, un ouvrage qui sera apprécié surtout par l'élite. ( numéro 9 juillet 1973).
Catherine Labouré
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Catherine Labouré, fille de la Charité, n'avait pas six mois de postulat lorsqu'à la rue du Bac elle eut ses premières visions. (Le cœur de Saint Vincent et le Christ dans le Saint Sacrement). Les principales apparitions de la Vierge eurent lieu la même année (1830), dans la nuit du 18 au 19 juillet et le 27 novembre. Cette dernière est celle dite de la Médaille Miraculeuse, dont l'étude fait l'objet du livre de Jean Guitton. En 1832, la hiérarchie autorise la frappe de 20 000 médailles et depuis ce temps on ne cesse d'en répandre. Si certaines apparitions mariales se sont plus ou moins estompées dans le passé, celles de la rue du Bac restent toujours d'actualité et continuent d'intéresser les fidèles. C'est ainsi qu'en 1957 (on aimerait une statistique plus récente) la chapelle, que rien ne signale plus, reçut 900 000 visiteurs contre 631 000 au Louvre et 150 000 au Panthéon. ( numéro 9, juillet 1973 ).
Avec plus d'une réserve !
3/5 Plaisir de Lire .
.----. (Présentation critique rédigée à partir d'un exemplaire de l'édition de 1973 chez S.O.S. , Coll. Hauts lieux de Spiritualités ) Rue du Bac, la foule priante est prise par une atmosphère de Foi universelle et pourtant personnelle . Pour nous, catholiques, la dévotion à la Sainte Vierge n'est pas facultative . Elle est prêchée par l'Eglise depuis des siècles et les progrès de la mariologie sont de notre époque . Le dogme de l'Immaculée-Conception justement a été proclamé en 1854 . Mais il était déjà dans la tradition de l'Eglise et nous en voulons pour preuve cette médaille que le Pape faisait frapper au Vatican en 1747 représentant l'Immaculée-Conception . Ce n'est qu'en 1830 que Notre-Dame se présentait à Catherine Labouré . Si Notre-Dame est venue là encore, c'est pour nous donner cette médaille dessinée par le Ciel qui résume si bien tous les dogmes concernant la Très Sainte Vierge et pour susciter l'esprit d'enfance et de confiance que tous doivent avoir devant notre Mère du Ciel . Jean Guitton voudrait adapter ce message si simple aux êtres cultivés . Mais alors il enferme ces "pauvres êtres cultivés" dans une analyse intellectuelle des faIts . Il essaie d'expliquer le phénomène mystique par la psychologie et met même en opposition Saint François de Sales et Saint Vincent de Paul . Dans un style hermétique pour beaucoup, l'auteur nous parle de sujets religieux en se défendant de l'optique que nous en donne la Foi . Si vous avez des amitiés pour Hegel, Bergson et Teilhard et que par là même vous soyez sensible aux théories de l'évolutionnisme, vous pouvez lire ce livre . Mais n'y cherchez pas l'histoire pas à pas de la rue du Bac et de ses apparitions, ni l'explication de la façon et des raisons qui firent répandre la médaille miraculeuse en quatre ans à plus de dix mille exemplaires . [ " Plaisir de Lire " , numéro 27 , grandes vacances 1974 ]