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N°296 Sept-Oct 1985 : Le Concile en question

Référence : 61842
1 avis
Date de parution : 1 septembre 1985
Éditeur : ITINERAIRES
EAN 13 : 0000285800005
Nb de pages : 176
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Description
Correspondance Congar-Madiran sur Vatican II et sur la crise de l´Eglise (avec table analytique des lettres de J. Madiran).
TitreN°296 Sept-Oct 1985 : Le Concile en question
Auteur ITINERAIRES (1ère série)
ÉditeurITINERAIRES
Date de parution1 septembre 1985
Nb de pages176
EAN 130000285800005
Épaisseur (en mm)12
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.18
Critique du libraire
Ce numéro a été édité en livre par Dominique Martin Morin qui est la reproduction sans changement du numéro 296.
La différence entre les deux éditions porte uniquement sur la couverture qui est de bien meilleure qualité, mais le prix est sensiblement plus élevé, vois ci-dessous pour le livre.
Les avis clients
Des questions qui appellent une réponse !
5/5 violette d'André
.----. L'AUTEUR : Licencié ès lettres, diplômé d'études supérieures, professeur, journaliste, directeur de la revue "Itinéraires", directeur de la rédaction de "Présent", directeur de collection aux Nouvelles Editons Latines, auteur d'une vingtaine d'ouvrages politiques et religieux. L'OEUVRE : A la suite de la publication de l'ouvrage du père Congar "La crise dans l'Eglise et Mgr. Lefebvre", Jean Madiran écrit à l'auteur pour lui soumettre ses observations, formuler ses critiques et poser des questions. Le père lui répond et Madiran passe au crible cette réponse en relançant le débat. Le père lui écrit un simple mot "Pour le moment tout au moins, j'en reste là". Alors Madiran se déchaîne et adresse une troisième lettre au père Congar, à laquelle celui-ci réplique par une lettre assez brève qui suscite une quatrième lettre de Madiran. L'échange se termine en 1982 par quelques très courts billets de part et d'autre. Quant à l'ouvrage, il s'achève en 1985 par une post-face de Madiran. CONCLUSION : Madiran a été bûcheron, il lui en est resté l'art de manier la cognée : il sait où frapper pour abattre un arbre. Mais il connaît également à fond l'art de la dialectique et rares sont ceux qui se risquent à l'affronter. Il faut reconnaître le courage du P. Congar de s'y être essayé. Mais devant l'implacable argumentation de Madiran et la logique de ses raisonnements, il ne pouvait faire autrement que de rompre le combat.Seulement les questions posées par l'auteur dépassent leur cible, s'adressent plus haut. Elles appellent une réponse de l'Autorité, faute de quoi (des rumeurs tendancieuses se répandent au détriment de la vérité" (art 121 de l'instruction pastorale "Communion et Progrès" de Paul VI). "Si j'ai mal parlé, prouve-le; mais si j'ai bien parlé pourquoi me frappes-tu,", disait déjà Jésus ! Un livre à lire. [ Signé Violette d'André dans ROC, 1986 ]