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Vie divine de la Très Sainte Vierge Marie - Extraits de la ´Cité Mystique de Dieu´

Référence : 5876
2 avis
Date de parution : 1 novembre 2014
EAN 13 : 9782740316146
Nb de pages : 600
29.90
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Description
Marie de Jésus d'Agréda naquit le 22 avril 1602. Fille aînée d'une famille de quatre enfants qui devinrent tous religieux, elle fut favorisée de multiples visions et révélations. La Vierge Marie elle-même lui découvrit les mystères de sa vie. Marie d'Agréda les mit par écrit et fut, pour cela, douée d'une science infuse qui lui fit voir la "Cité mystique de Dieu" comme à travers un cristal très pur.
Sept papes, ainsi qu'une multitude de cardinaux, d'évêques ou de théologiens ont loué ce récit étonnant, "si simple et si clair, admirable et touchant", l'appelant même "Evangile de Marie". La Vie divine de la Très Sainte Vierge Marie est un abrégé de la Cité mystique de Dieu. Elle commence dans les cieux, où Marie fut "présentée" aux anges comme la Femme en qui devait s'opérer l'Incarnation du Verbe ; et elle s'achève dans ces mêmes cieux, où elle fut couronnée par son divin Fils.
"L'un des plus imposants monuments du génie humain (...) qui suppose dans son auteur la plus merveilleuse pénétration des mystères du Christianisme, la plus profonde connaissance de ce monde et une rare intelligence des Saintes Ecritures." Dom Guéranger, Abbé de Solesmes - 1858.
TitreVie divine de la Très Sainte Vierge Marie - Extraits de la ´Cité Mystique de Dieu´
Auteur AGREDA (Marie d')
ÉditeurPIERRE TEQUI (EDITIONS)
Date de parution1 novembre 2014
Nb de pages600
EAN 139782740316146
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)30
Largeur (en mm)110
Hauteur (en mm)200
Poids (en Kg)0.44
Les avis clients
Controverses.
5/5 Lecture et tradition.
.----. Il est peu de livres qui aient suscité des discussions aussi passionnées que le livre dont nous offrons une fidèle reproduction à nos lecteurs. Il a été rédigé entièrement de la main d'une religieuse, Marie d'Agreda, morte en odeur de sainteté en 1665. Si l'on en croit l'auteur, ce livre a été écrit sous l'inspiration divine. Il suscita de telles controverses pendant plus d'un siècle qu'il fallu, pour les clore, l'intervention des Papes et un Décret de la Sacrée Congrégation des Rites. Dès 1671, il était traduit dans toutes les langues de l'Europe en plus d'une soixantaine d'éditions. Un rapport de l'Université de Louvain déclarait en 1715 : " ...Plus on les relit, plus on y trouve de goût. Enfin, tout l'ouvrage est quelque chose de si attirant qu'on a peine à le quitter lorsqu'on s'est engagé dans sa lecture... "----....---...--..-. L'édition que nous reproduisons est celle du Chanoine Victor Viala, qui est un résumé complet, de lecture facile et agréable. Elle a reçu à l'époque, avec l'approbation de Mgr l'Evêque de Pamiers, des lettres de félicitation d'un très grand nombre d'Evêques.----....---...--..-. De ce livre, Dom Guéranger, abbé de Solesmes, déclarait : " Le moins que l'on puisse dire à la louange de cette œuvre, c'est qu'elle demeure l'un des plus importants monuments du génie humain et qu'elle suppose,dans son auteur, la plus merveilleuse pénétration des mystères du christianisme, la plus profonde connaissance de sa morale et une rare intelligence des Saintes Ecritures. " ( 12 septembre 1858.) Extrait du numéro 1 de Lecture et Tradition en juin 1966. Mais il faut préciser que ce texte n'est pas signé et qu'il a toute la forme d'un communiqué de l'éditeur !
Informations
3/5 Jean ( Saumur ,49)
Le cas "Marie d'Agreda" a fait beaucoup parler. Il faut savoir qu'il existe un livre de François-Géraud de Cambolas qui lui semble très favorable ( je ne l'ai pas lu!) et un livre très critique de M. l'abbé Herrbach " Des visions sur l'Evangile " qui traite aussi de Catherine Emmerich et de Maria Valtorta. Je crois aussi qu' Etienne Couvert est très réservé, mais je ne retrouve pas sa critique !