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La Transfiguration selon les Pères grecs

Référence : 1710
1 avis
Date de parution : 1 novembre 1986
Éditeur : AUTOEDITION
EAN 13 : 9782902161010
Nb de pages : 192
13.50
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Description
"O amants des spectacles au-dessus de l'intelligence, et avides d'écouter.
Contemplons mystiquement le Christ resplendissant des rayons divins,
Et faisons écho à la voix du Père proclamant le Fils "bien aimé".
Qui fait resplendir la faiblesse humaine sur le Thabor.
Et jaillir l'illumination sur nos âmes''.
(Liturgie Byzantine : Petites Vêpres de la Transfiguration)
TitreLa Transfiguration selon les Pères grecs
Auteur HABRA (Père Georges)
ÉditeurAUTOEDITION
Date de parution1 novembre 1986
Nb de pages192
EAN 139782902161010
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)146
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.25
Critique du libraire
2ème édition corrigée.
Les avis clients
Convaincant ?
2/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Note rédigée à partir de la première édition chez S.O.S. en 1973.-------- "Le style de ce petit livre n'est pas des plus coulants et son appréciation de l'exégèse moderne est assez simpliste. Facilement, l'auteur accuserait l'interprète actuel de la Bible d'être rationaliste, là où il y a surtout un souci de vérité et d'authenticité, ainsi qu'une application de méthodes scientifiques éprouvées. Rappelons aussi que le verbe "exclure" ne se conjugue pas comme si c'était "excluer". Aussi ne doit-on pas écrire "j'exclue", même en traduction du grec.----....---...--..-. L'ouvrage a le mérite d'offrir une version française des principaux passages (assez rares d'ailleurs) des Pères Grecs concernant la Transfiguration.----....---...--..-. Celle-ci se serait produite non chez le Christ (Verbe incarné et, en ce sens, transfiguré dès le début de son existence humaine), mais chez les apôtres, conduits à la perception de la divinité du Christ par les voies mystiques de la purification, de la contemplation et de l'illumination, symbole et prélude de la vie éternelle.----....---...--..-. Cette vision est très belle, mais dépasse de beaucoup l'exégèse des textes évangéliques et en rend mal la perspective réelle. L'auteur en veut un peu au thomisme des Latins et lui préfère le platonisme qui a influencé les Pères Grecs. C'est son droit. Mais son plaidoyer est-il aussi convaincant qu'il ne le pense ? ( numéro 7, avril-mai 1974 ).